Althéa Maryam

Nom:
Maryam
Prénom:
Althéa
Age:
23 ans
Origine:
Anglo/française
Le temps depuis lequel vous êtes arrivés:
Près de 250 ans
Poste:
Gérante de la Licorne?

Histoire:
New York en pleine guerre. D'un côté, des Irlandais, de l'autres des natifs du nouveau continent. Entres les riches familles étrangères espagnoles, françaises... qui s'installent dans la ville et les miliers d'Irlandais qui arrivent par bateau, les New-Yorkais explosent.
Au milieu de tout ça, il y a Althaé, petite fille de 6 ans, orpheline.
Depuis près de 4 ans elle vis dans ce nouveau continent. A-t-elle toujours été orpheline? Ca non. Sa mère était une immigrante française. La jeune fillette ne garde aujourd'hui encore que très peu de souvenir de sa mère. Elle se souvient de la berçeuse qu'elle lui chantait pour qu'elle s'endorme, de son parfum et de quelqu'autres détails, mais sans plus.
Donc, c'est une jeune fille française qui est arrivée dans le nouveau continent avec sa mère. Entre 2 et 4 ans, elle coula des jours heureux avec sa chère mère, vivant dans une belle maison en centre ville, avec une gouvernante et toute la bagatelle qu'elles ammenèrent d'europe.
Althaé mit presque 1 an et demi à apprendre l'anglais, elle l'aurai surement appris beaucoup plus vite si elle avait pu trainer avec les enfants des rues. Mais, comme une fille de bonne naissance, elle evait subir les cours d'anglais des instructeurs bilingues que lui payait sa mère. Comment celle-ci pouvait payer cela? Althéa n'en avait aucune idée, beaucoup trop jeune pour toucher aux choses de la finance. A 4 ans quand même!

Bien habituée aux soirées où, habillée d'une élégante jupette, elle aimait à courir entre les jambes des adultes. Seule.
Toujours seule. A 4 ans, pas d'amis qui comprennent suffisament son accent qu'elle ne travaillait pas assez, elle jouait à la poupée, à la dinette...

Ecoutant d'une oreille distraite les explosions qui parvenaient de temps à autres à ses oreilles, les cris qui, comme des cui cui d'oiseaux tintaient, musiaux, à ses oreilles.

Puis à partir de ses 5 ans, sa vie se dégrada. Elle voyait très bien, sans comprendre, que les épaules de sa mère se voutait, que des cernes se dessinaient sous ses yeux, qu'elle veillait de plus en plus tard. Mais que lui arrivait-elle? Althaé ne le savait pas, elle se contentait de serrer son doudou contre elle, une moue de tristesse sur la bouche. Et peu à peu, les employers de sa mère se firent moins nombreux. Elle décida que, trop vieille, la petite Althéa n'avait plus besoin d'une préceptrice aussi attentionné que Nana.
Ainsi s'effondra l'univers qui faisait sa vie, faisat chuter une à une les pierres d'une complexe architecture.

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La scène de son enfance la plus clair dans son esprit est celle-ci:
Un soir du printemps, les cris étaient de plus en plus près, de plus en plus fort. Allongée dans son lit, son doudou serrer contre sa poitrine, la petite Althéa ne pouvait pas dormir, elle entendait de l'agitation dans la rue, des armes à feu qui détonaient toutes les 10secondes, et sa mère entra en trombe dans sa chambre. En robe de nuit et sans plus de cérémonie, elle prit sa fille dans ses bras et l'emporta à l'extérieur.
L'air du dehord avait un gout de cendre de la bouche et une odeur de sang.
Sa mère courait, les yeux écarquillées, les cheveux emmêlés, en balotant la fillette endormit dans la ceinture de ses bras. Disparue la jeune femme riche! La maison brulait dans un feu de joie macabre où quelques personnes, n'ayant que faire des langues rouge-orangés mortelles alors qu'ils pillaient sans remords aucun les biens de 2 vies.

Ballotée dans les bras de sa mère, la petite Althéa s'endormit rapidement, inconsciente du danger.
Lorsqu'elle se réveilla, elle était seule, dans une petite ruelle, endormit dans un tas d'ordure, sans aucune trace de sa mère. Partout, il y avait du sang, partout, les combats faisaient rages. La jeune fille se terra contre le mur, s'enfouissant un peu plus dans sa poubelle.
Elle ne sait pas trop combien de temps elle resta là, proscrite, impuissante, mais, alors que le soleil était levé, c'était la faim qui la tira de son abris précaire. Elle traversa la rue et, dans l'échoppe d'en face, parmis les morceaux de verre sur lesquels elle s'écorcha les genoux, elle trouva des fruits pas trop abîmé. Althéa fit une fête de ce plat substanciel.

Ainsi vécut-elle jusqu'à ses 22 ans - à peu près. Volant, se battant, habillé de haillons, sa petite jeunesse emplie de robe, de bijoux et de parfums était déjà loin. Elle évita les pires choses de la rue, les viols, les meurtres, elle y échappait toujours, jamais même elle n'avait eu besoin de se prostituer. Elle vivait bien, même si elle vivait pauvrement.
Mais comme beaucoup de choses ont leur limite, sa chance tourna. Elle était très belle et elle ne l'ignorait pas, aussi essayait-elle au maximum de cacher sa beauté avec de la saleté, d'affreux vêtements... Mais avec 2 sous de jugeottes, se n'était pas très dur de le voir. Alors qu'elle trainait dans les ruelles de New-York, sans avoir parfaitement oublié l'Anglais, elle le parlait au contraire mieux que jamais, en continuant à cultiver son français, elle se fit coincer derrière les poubelles par 5 hommes, des marins apparament.
Coupée su monde, elle ne savait pas vraiment ce qui se passait, elle entendait parfois les potins sur les marchées quand elle faisait les poches, mais sans plus.
Donc, coincé dans un coin d'une ruelle déserte, non seulement elle se fit violé, battre, ils jouèrent avec son corps comme une petite fille joue avec une poupée, mais en plus, des racoleurs comme eux l'emportèrent et l'ammenèrent dans le premier bordel de qualité venue où ils la vendèrent un bon prix.
Evanouie de dégout, l'envie de les tuer, de jouer avec leurs sexes tranchés nets vif dans sa main très pressant, elle aurai voulu ne jamais se réveiller, mourir ainsi, sans avoir vraiment pris compte de ce qui venait de ce passer, sans avoir pris du recul sur sa vie.
Dans un état de demi consciente et voulait le rester. Mais la vie l'emporte toujours sur la mort et elle se réveilla, entourée de 5 autre femmes.
Elles lui résumèrent la situation. Soit elle travaillait de plein grès ici, soit le 'chef' la tuerai après avoir jouer avec elle à sa manière. Les autres femmes passèrent au moins 10 miuts à lui énumérer des cas de filles avec qui le chef avait jouer, torturées qu'elles avaient été puis laissée, à demie nue, dans la rue, aux chacals du dehord, aux sales...

La jeune Althéa accepta de mauvais grès, mais accepta quand même. Elle se fit laver, brosser les cheveux... Ses petits gestes firent remonter en elle de vieux souvenir dont la saveur avait le gout du bonheur. Mais qu'était le bonheur?

"Althéa pour servir monsieur" disait-elle souvent, la même rengaine qui signifiant au moins 1 heure de salissure en plus. Elle essayait de retenir le plus de nom possible. Mais pourquoi faire, se vangr, d'eux? Jamais elle ne les retrouverait!

Alors elle subissait, évitant rarement le fouet, attendant la moindre occasion de s'enfuir, mais jamais elle ne venait, jamais, jamais, s'était sa prison. Elle mourrai ici, sale, vieille et usée, haissant, tout son sang transporterai de la haine, une haine virulente. Et se suicider? Pouquoi ne pas mettre fin à ses jours?
En tout cas, ce n'était pas par manque de courage mais Althéa aimait trop la vie, elle l'aimait trop pour se l'enlever à elle même.
Et puis, la vie n'était pas si horrible, se disait-elle amèrement. Elle trouverai bien un moyen de partir!

Souffrant et résignée, elle se retrouva alors un jour devant une porte. Un rêve, était ce un rêve. Un rêve, cette étendue d'herbe et de fleurs, ses collines qui poussaient à perte de vue, ses petits villages de bois et ses forêt qui poussaient dru. Un rêve? Ca? Son subconscient se réjouissant-il de la faire souffrir?
Pourquoi elle, avait-elle poussée cette porte sur un monde trop fleurit, trop coloré pour elle?
Pourquoi des elfes l'acceuillaient elle ainsi, ainsi que des nains et d'autres créatures sortis de comptines qu'elle ne savait même pas connaitre?

Voila près de 250 ans qu'elle habite là bas, dans ce magnifique pays, où elle s'est refaite une vie.


Description physique:
C'est une femme très belle, les hanches larges, la poitrine ferme. Elle a la peau très claire. Le temps qu'elle a passé dans son bordel, confinée hord de la lumière contribua à son éclaircissement. Et, même depuis 250 ans, sa peau n'a pas bronzé. Ses membres sont longs et fins et cachent une force que peu savent qu'Althéa possède. Elle est très gracieuse et souple et possède un étonnant sens de l'équilibre et à beaucoup l'endurance. Althéa possède de très beau yeux marrons et ses loooongs cheveux blonds clairs encadrent son beau visage. Malgré ce qu'elle a vécu, il n'y a que ses yeux qui sourde la douleur qu'elle contient. Le bas de son dos est parcourut de fines et longues cicatrices de fouet et de marques de griffures.

Description Morale:
Jeune fille autoritaire, comme beaucoup de personne ayant souffert dans leur enfance, elle est très forte moralement. Souriante et heureuse, elle aime la vie. Maternelle, son enfance d'orpheline lui a donné une grande compassion envers tous et toute. Risquerai-t-elle sa vie pour ceux qu'elle aime? Sans la moindre hésitation, elle est déterminée, voir très obstinée! Elle a beaucoup de charme et est très habile dans tout ce qu'elle entreprend.
Le courage tient une place forte dans son caractère, surement en accord avec sa fierté, en plus de sa volonté et de son sens de la justice.
Elle sait se montrer cruelle, manipulatrice et est très jalouse. La rancune et l'agressivité sont chez elle une partie cachée aux autres

Autre:
Elle a un tatouage qui lui encercle le nombril, une flamme rouge-orangé emprisonnant une rose épineuse dont le coeur un un petit soleil.