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| Icare Idalson | |
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Icare Idalson Général ennemi...
Nombre de messages : 35 race(natifs)/origines(disparus) : Francais Date d'inscription : 18/06/2006
| Sujet: Icare Idalson Lun 19 Juin - 13:06 | |
| Nom: Idalson Prénom: Icare Age: Icare a dix-huit ans d’apparence. Mais cela fait longtemps qu’il les a dépassé…
Origine: Icare a été adopté par un homme d’une vieille famille Danoise, les Idalson. Les véritables origines d’Icare sont perdus depuis bien longtemps…
Le temps depuis lequel vous êtes arrivés: Icare est arrivé a Fukeru il y a 999 ans, 330 jours, 23h, 02 minutes et 55 secondes…
Poste: Icare Idalson, disparu depuis de longues années du village de Fuberu, n’est autre que le général ennemi.
Description physique: Autrefois totalement albinos, Icare a beaucoup changé depuis. Ses cheveux courts, autrefois d’une blondeur très proche du blanc, sont maintenant d’un noir ténébreux aux reflets légèrement bleutés. Ses yeux, eux, par contre, sont resté aussi sanglants. Sa peau reste très clair dû à son anomalie génétique. D’une taille normal, Icare est d’un naturel svelte, maigre. Mais il l’a toujours bien vécu, contrairement a son physique d’albinos, qu’il détestait plus que tout. Son visage aux traits fins et doux conservent encore une petite impression de pureté, quand il n’est pas vêtu comme il aime bien. Il apprécie énormément être en pantalon, chemise, et une drôle de veste, mélange entre cape et manteau. Leurs couleurs ? Noir, ou sombre. Mais plus jamais clair. Des quelques mois enfermés en cellule dans la demeure du général, il en a garder pleins de souvenirs… De fines cicatrices cicatrisées depuis longtemps ornent une grande partie de son corps. Il y a aussi d'autres blessures qui datent de la même periode.
Description Morale: De son passé de voleur, Icare a conservé quelques talents qu’il maintient toujours actif. L’agilité, la rapidité, l’esquive… Mais initialement rien concernant le combat. Il a tout appris quand il a chuté dans l’immondice de ce camp. Il sait se défendre, mais n’est pas fan du combat armée. Son plus grand plaisir n’est que de démolir les gens par la parole. Être au réplique désormais acerbe, ses paroles sont devenues remplis de venin et de poison. Peu auront le droit a un petit mot gentil, sauf si c’est pour les poignarder encore plus cruellement ensuite. Pourtant, il peut paraître si gentil… Mais ce n’est qu’un masque pour mieux connaître les faiblesses de ses ennemis. La pureté qu’il avait autrefois n’est plus que néant. Elle n’existe plus… la descente dans le mondes des enfers a été la chute finale et définitive. Quiconque chercherait de la blancheur dans cet être, n’y verrait que noirceur et dédain envers les autres. Peut humain, cet homme a abandonné son humanité pour survivre dans ce monde. L’immondice de ce monde l’a écœuré de se battre pour ses anciens amis. Il déteste presque tout le monde. Ceux de Fukeru, en particulier les anciens, pour l’avoir abandonné, quand il avait besoin d’eux, les autres, il ne valent guère d’intérêt. Qu’ils prennent l’espoir de rentrer chez eux, Icare se fera une joie de brûler leur rêves et leurs espoirs, comme on a brûlé les siens, jadis. Presque sans faille… Presque… D’une nature peu assassin, il aura tendance a préféré corrompre ses anciens ennemis. Les mener droit dans le chemin des enfers, ou il fut mené.
La noirceur de son âme peut pourtant être compensé… Malgré son dédain pour la vie des autres, il n’est peut-etre pas le pire des ennemis, bien qu’il puisse s’amuser a vous enfoncer. Quand d’autres le feraient en deux jours, lui, le prolongera en plusieurs semaines, histoire que vous récupériez bien. Mais quand d’autres vous torturais physiquement, lui, ne lèvera pas le moindre doigt sur vous. Il peut cependant, ne pas empêcher ses ‘hommes’ de s’amuser avec vous, mais jusqu'à un certain point.
Loin d'être du genre a s'énerver, ce jeune général a une tendance à être très calme et serein. Loin d'être celui qui réfléchit a deux fois avant d’agir. Bon tacticien, il se préoccupe énormément de ne pas mener ses hommes a une mort certaine. D’une autorité incontesté, le moindre mouvement aux idées trop révolutionnaire au goût du général sera purement et simplement éradiquée de ses rangs, par la Grande Faucheuse. Par contre, il reste un minimum a l’écoute de ce que pense ses hommes, ou ses lieutenants.
Bavard, du moins jusqu'a certains points. Rare sont ceux qui savent plein de chose du jeune albinos. Il laisse passer que quelques informations sur son passé : qu'il fut un arrivant de la Terre, et ce doit être tout. Toute la période de transition entre les deux camps est totalement tabou. Il déteste qu'on lui rappelle ces 'mauvais souvenirs' et ses 'espérances futiles'.
Autre: Icare fut, pendant un moment amoureux. Mais cette personne n’a maintenant qu’une haine farouche de cet adolescent. Cette dernière ignore tout simplement la décadence de l’ange qu’elle avait rencontré…
Dernière édition par le Lun 19 Juin - 18:04, édité 1 fois | |
| | | Icare Idalson Général ennemi...
Nombre de messages : 35 race(natifs)/origines(disparus) : Francais Date d'inscription : 18/06/2006
| Sujet: Re: Icare Idalson Lun 19 Juin - 13:08 | |
| Histoire: Tout le monde connaît la légende d’Icare. Cet adolescent qui avait voulu s’envoler, s’était brûlé les ailes, et était retombé dans l’océan. Si on retirait l’eau, cela aurait été valable pour ce jeune homme. Grimpé haut plus haut de la pureté, il était brutalement tombé, devenant un de ses ‘démons’, un de ces êtres horribles…
Paris, 12 mars 1854 : « T’as intérêt a courir, sale petit voleur ! Si j’t’attrappe, tu vas t’en rappeler ! »
Icare courut. Aussi vite que pouvait le portes les ailes de l’enfance. Du haut de ses sept ans, ce gamin était rusé, futé, malin. Et les ailes de l’enfance arrivaient a le porter et le faire survivre dans ce Paris du XIX° siècle. L’enfant serra fortement son bien maigre butin dans ses mains. Il avait volé une pomme et deux abricots. Mais en même temps, c’était ça, ou mourir de faim. Courant comme pouvait le faire courir ses jambes d’enfant de sept ans, Icare rentra dans les petites ruelles de la grande ville… Petites ruelles casse-tête si on ne connaissait pas.
« Sale gosse ! Tu verras quand je te retrouverais ! » jura bruyamment l’homme, jetant un regard noir sur les alentours, mais aucune trace de ce gosse aux yeux rouges et aux cheveux blancs. Icare le regarda partir, puis sorti lentement de sa cachette. Contemplant son maigre butin, l’enfant avala l’un des abricots, mettant le reste dans sa poche.
Paris, 18 décembre 1859 : « Fiche le camp, sale démon ! »
Habillement, le jeune adolescent de douze ans esquiva le coup de balai qui lui était destiné. Il avait peu grandi, et ne ce plaindrait pas de sa petite taille, qui le laissait habile et agile. Rapidement, il quitta le hall ou il avait trouvé refuge pendant la froideur de cette nuit de décembre. Cela faisait déjà une dizaine de jours que la neige tombait, et que la température nocturne atteignait les -15°C. température bien trop froides pour qu’il survive dans la nuit. Mais dès qu’il trouvait un refuge, on le chassait brutalement. Il effrayait les autres. Sa peau pâle, ses yeux rouges, ses cheveux d’une blondeur extrême, proche du blanc… il n’avait franchement rien d’humain aux yeux des autres.
Paris, 26 juillet 1860 : « On va l’avoir ! »
Icare courait. Mais pas assez vite, il y avait une dizaine de policiers qui lui courait après. Il avait volé un pendentif chez un bijoutier. Le problème, c’était que visiblement, il avaient prévu que quelqu’un irait le voler. Et malheureusement, pour ce gosse qui se laissait porter par ses jambes et ses ailes d’Icare. Icare était perdu. Il avait fui sans réfléchir, et là, il ne savait pas vers où il courait. Il tourna a droite, a gauche, a droite encore, quand il se stoppa net. Il faisait nuit noir, et il y avait devant lui une autre dizaine de policiers. Rapidement, l’enfant se tourna, pour voir quasiment la même chose derrière lui.
« Rends-toi, petit ! »
Icare avait peur… horriblement peur. Du haut de ses treize ans, il ne s’était jamais retrouvé dans une telle situation. S’il se rendait, que lui arriverait-il ? L’adolescent regardait les policiers, qui venaient de sortir les pistolets. Comme si cet inoffensif enfant pouvait faire quelque chose. Coincé dans une ruelle, aux hautes maisons, des policiers devant, derrière… Que faire ?
« Rends-toi, ou on tire ! »
Tétanisé, l’enfant ne bougeait pas. Il avait si peur. Peur de mourir. Peur de se faire arrêter. Clic… Les armes s’étaient dirigés sur ce petit être. Pan… Un seul tir. Un tir pour rendre définitivement inoffensif cet enfant. Icare n’eut pas le temps de bougé, qu’une douleur fulgurante s’empara de son épaule gauche. La balle s’était logé dans l’épaule de l’enfant, et les policiers étaient quasiment parti en même temps que la balle, s’emparant presque aussitôt de l’enfant.
Quelques heures plus tard, commissariat de Paris : « Comment va-ton épaule ? »
Le jeune inspecteur de police regarda cet enfant si fragile. Le bras en écharpe, l’épaule encore totalement immobilisé, il avait presque fallu qu’il se batte pour faire soigner cet enfant, qui serait mort horriblement sinon. L’enfant ne bougeait pas. Si ce n’était son regard rouge, qui allait d’un coin de la pièce a un autre. Depuis qu’on l’avait arrêté, il n’avait pas ouvert la bouche, et le bien avait été restitué a son propriétaire.
« Il va m’arriver quoi ? »
La faible voix de l’enfant s’éleva. Question qui lui brûlait les lèvres. Mais qu’est-ce que la réponse pouvait l’angoisser. Allait-on le mettre en prison ? En orphelinat ? Le jeune lieutenant fut enfin soulagé d’entendre la voix de ce si jeune enfant. Avec un sourire qui se voulait rassurant, il lui répondit.
« Ca dépendra du juge. Tu peux être placé en orphelinat, ou envoyé en prison. »
Voyant la petit tête se baissé vers le sol, il comprit presque immédiatement la crainte enfantin. Trop solitaire pour se mêler aux autres, et la prison ne ferait que le détruire. Et son physique n’arrangerait rien. Le jeune homme soupira, puis, souriant au petit enfant, il lui marmonna quelques mots :
« Je vais te faire mettre en cellule, d’accord ? Tu y seras seul, d’accord ? »
La petite tête enfantin se secoua positivement. De toute manière, qu’aurait-il bien pu faire pour y échapper ? L’avantage, était celle de cette solitude. Il n’aurait pas à avoir quelqu’un qui lui rendrait la vie dure.
Quelques jours plus tard, bureau du juge : « Très bien, faites les entrer. »
Le jeune lieutenant laissa rentrer Icare, accompagné de deux policiers. L’enfant fut soulagé de voir Monsieur Idalson présent. Cet homme s’était toujours montré si doux avec lui, que l’enfant avait fini par s’habituer a sa présence, et que le silence entre eux était de plus en plus rare. Le jeune lieutenant fit un sourire rassurant a son petit protégé en le voyant rentrer. Le juge a qui il s’était adressé était un homme encore bien humain. Il avait expliqué la situation, et avait essayé de le convaincre pour réussir une troisième possibilité de sortie pour ce petit enfant. Mais il n’avait rien dit.
« Icare, c’est bien vous ? » « Oui » fit la petite tête du petit oiseau enfermé. Dorian lui avait dit de ne pas s’inquiéter quant au juge, s’il répondait a ses questions, il n’y aurait aucun problème. Mais il lui faisait peur.
« Savez-vous pourquoi vous êtes la ? »
Le jeune albinos répondit de la même façon que précédemment : en hochant positivement la tête. Le juge regarda ce petit enfant. Il comprenait mieux la requête du lieutenant. Laissant tomber le ton froid, presque répréhensif, le juge s’adressa plus chaudement et gentiment a cet enfant tellement craintif.
« Explique-moi pourquoi, s’il te plait. »
Icare releva doucement la tête, et regarda le juge. Il ne savait pas pourquoi ? Jetant un regard a Dorian Idalson, ce dernier réitéra son sourire encourageant, pour le pousser a répondre. Se mordillant la lèvre inférieure avec une légère inquiétude, le jeune gamin ouvrit lentement la bouche.
« A cause du vol de la bijouterie »
La conversation continua, jusqu'à la question fatidique, que posa Icare de sa petite voix mal assurée. Il craignait beaucoup la réponse.
« Que vais-je devenir ? »
Le juge le regarda droit dans les yeux. C’était bien loin d’être facile de le faire. Les yeux rougeâtres de l’enfant étaient si peu normaux, qu’ils en venaient gênants. Lâchant le regard sang de l’enfant, il éleva la voix.
« En temps normal, tu serais soit emprisonné, soit envoyé a l’orphelinat. Mais il y aurait une autre possibilité. «
S’arrêtant, le jeune juge posa son regard sur l’enfant, avant de regarder le lieutenant de police, et de retourner sur l’enfant. Il écoutait ce qui avait été dit, et une légère trace d’inquiétude et d’interrogation s’était posé dans ce petit regard. Le juge sourit, comprenant que Dorian n’avait rien dit a l’enfant.
« Quelqu’un m’a demandé s’il pouvait te prendre sous son aile. Qu’en penses-tu ? » « Euh… C’est qui ce quelqu’un ? » « Moi… J’aimerais t’adopter, et que tu sois ainsi un enfant normal. Es-tu d’accord ? »
Icare regarda lentement les deux hommes. Il était bien loin de savoir quoi répondre. La joie avait envahi son cœur d'enfant, et la crainte en même temps le prenait. Peur de devoir être avec d'autres. Peur de leur réaction, face a ses yeux rouges et a sa pâleur. Il ressemblait a un fantôme, et il le savait. Quelques minutes s’envolèrent, avant que la petite tête enfantine se secoue positivement. Il préférait ça aux autres solutions.
Paris, 12 novembre 1865 : Icare avait désormais 18 ans. Malgré son albinisme, il avait réussi à gagner le combat de la vie. Il s’était débattu dans ce monde qu’il découvrait de jour en jour. Celui de l’école, puis celui du travail. Mais les deux avaient été dur, pour ce petit voleur. Mais Dorian l’avait toujours soutenu dans ce monde parfois mauvais. Doux rêveur d’une vie plus belle. Le travail qu’il avait n’avait rien d’intéressant : s’occuper d’une machine. Mais son agilité était toujours telle, qu’elle lui permettait de faire des taches que peu de son âge pourrait faire. Lui ne se plaindrait pas. Un soir qu’il rentrait chez lui d’une dure journée de labeur, tout se passa. Poussant la porte de son appartement ou ils vivaient, Dorian et lui, il aperçut ce drôle de lieu. Une salle étrange, avec une lumière venant de sa droite.
« Dorian ? »
Le jeune adulte s’avança vers la porte, légèrement inquiète a cause du silence. Il ne semblait y avoir personne. Mais c’était quoi ce bin’s ? Il était où bon sang ! Très peu rassuré par ce lieu bien anormal, le jeune albinos s’avança quand même jusqu'à la porte.
Fukeru, il y a plus de 990 ans : Icare ouvrit un œil, puis l’autre. Puis il se redressa. C’était quoi ce bin’s ? Il était où la ? Le jeune adolescent a peine rentré dans l’âge adulte posa un pied devant l’autre, et quitta la grotte ou il se trouvait. Le jeune humain s’avança doucement, restant sur le qui-vive. Et puis… Une jeune femme arriva. Elle s’appelait Saki, et était arrivée peu avant le jeune français. Ils firent donc connaissance, bien que le jeune voleur soit peu bavard. Vivant pas extrêmement bien son apparence hors normes, le jeune homme avait fini par s’établir hors du village. Il lui arrivait d’y aller par occasion, ou de recevoir les autres habitants, dans les règles de l’hospitalité que Dorian lui avait enseigner. Ainsi s’écoulait la vie.
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| | | Icare Idalson Général ennemi...
Nombre de messages : 35 race(natifs)/origines(disparus) : Francais Date d'inscription : 18/06/2006
| Sujet: Re: Icare Idalson Lun 19 Juin - 18:44 | |
| Fukeru, il y a 767 ans : Quelle folie l’avait pris ? Il s’était baladé. Mais il était allé trop loin. Trop loin, et ce n’étaient pas des anges qui s’étaient tenu devant lui. Ni même ceux qui lui avait tenu compagnie pendant ce trajet pour nul ne savait où, exception faite de ses geôliers, trop nombreux pour qu’il cherche a fuir durant le trajet. Le petit albinos n’en menait pas large. Ce fut quelques heures après son enlèvement, qu’ils arrivèrent a destination. Le voleur se serait presque effondré de joie de ne plus bouger, tant ses jambes lui faisaient mal. Il était habitué a marcher, mais là, le rythme avait été soutenu, les pauses absentes, malgré une durée comme la plupart de ses promenades. Des grognements et une drôle de langue encore inconnue au jeune français s’étaient élevés entre ses geôliers. Poussé sans délicatesse, le jeune homme se remit en route, s’enfonçant davantage vers les ténèbres… un escalier… Un long couloir, ou il y avait encore un escalier. Mais une odeur de sang s’était fait sentir. Où était-il tombé ? Qu’allait-il devenir ? Repoussé encore pour qu’il avance, le jeune humain reprit sa marche, sans grande envie.
Une cellule de ce lieu, quelques semaines plus tard : « Alors comment se porte notre curieux ? »
Oh ! Le petit curieux, qui n’était autre que le Voleur était dans un tel état. Ses vêtements d’un vert clair étaient totalement immaculés de taches de sang plus ou moins séchées. Ils auraient même été bon a jeté, a cause de leur état si déplorable. Complètement troué, il ne protègerait plus la peau du petit humain du froid du lieu. Allongé sur le sol taillé dans la pierre, Icare espérait qu’on le sortirait de la. C’était la seule chose qui le permettait de rester lucide entre toutes les horreurs qu’il subissait. Les yeux rouges de l’enfant s’ouvrirent et se posèrent sur le général, en compagnie d’autres personnes. Il ne connaissait les deux autres qui l’accompagnaient. L’un des deux s’approcha de l’albinos,
« Qu’allez vous faire de lui ? » « J’hésite. Dois-je le tuer ou le faire venir dans notre camp ? »
Le général s’approcha de l’enfant, et l’attrapa par le cou, et le regarda droit dans les yeux. Un petit sourire mesquin et moqueur s’était posé sur le visage du général. Il approcha doucement sa bouche près de l’oreille de l’adolescent, et murmura d’une voix doucement amusée :
« Que préfères-tu ? » L’enfant fut paniqué. Il allait le tuer ? Comme les policiers quand il avait tiré ? Au moins, il ferait son dernier vol. Mais il ne voulait pas. Pas mourir loin des siens, dans une cellule qui sentait aussi mauvaise. La douleur et la fatigue le mettait dans un tel état, qu’il ne put que marmonner quelques mots. Deux mots précisément…
« Pas mourir ! »
Le général eut un sourire ravi, puis lâcha le gosse comme il l’avait pris. Ce dernier s’effondra littéralement sur le sol. Sans faire d’avantage attention au petit albinos, il jeta a ses deux hommes.
« Faites qu’il soit présentable et digne de mon armée. Je vais lui chercher un de mes meilleurs mentors disponibles. Et changer moi ces cheveux blancs ! »
Fukeru, il y a quelques semaines : Icare avait volé trop près du soleil, et était tombé dans les ténèbres maintenant. Son mentor l’avait formé, et pas qu’un peu. Voyant en son apprenti des points forts peu courants et très utiles, le jeune adolescent avait eu le droit a un régime particulièrement sévère et rempli. Entre des entraînements de souplesses, d’agilité, de rapidité, et le maniements des armes aussi diverses que varié, l’Icare aux ailes blanches avait fini par s’envoler définitivement, laissant un Icare aux ailes tachées de sang d’innocents… Et pourtant… Il n’y avait que quelques personnes tombé sous les coups du jeune homme. Il s’était envolé de ses propres ailes, et avait tout fait pour gravir les échelons de l’armée. Il les gravit, sans retomber. Devenir le meilleur avait toujours été ce que son mentor lui avait demandé.
Icare, vêtu d’un des habits d’apparat d’un membre de la haute hiérarchie de l’armée assistait a la nomination d’un nouveau Général. Le dernier étant mort au combat, quelques jours avant. Icare avait refusé sa nomination a un tel poste. Non pas que cela ne l’intéressait pas, car après tout, c’était le rôle suprême de l’armée qu’il souhaitait avoir, mais n’appréciant guère cet être aux mœurs détruites, et s’il pouvait tomber dans les mains de son armée, ou sous les coups ennemis… Ca l’empêcherait d’avoir des ennuis quand son tour viendrait.
Fukeru, la semaine dernière : Icare sourit en entendant la nouvelle que l’ont venait d’annoncer. Le général avait été renversé. Le dernier combat n’avait fait que monter la pression contre ce dernier. Les morts avaient été nombreux… Mais a l’idée de devoir avoir un nouveau conseil avec les membres de la haute hiérarchie, l’ennuyait d’avance ; il allait encore parler pendant des heures pour ne rien dire. Mais il ne pouvait pas toujours y échapper. Quelques heures plus tard, il reçut une convocation pour ce conseil si peu souhaité. Mais sans guère d’envie, le jeune homme s’y rendit.
Fukeru, hier : Le nouveau général venait d’être nommé ; ce n’était autre que le jeune Icare Idalson. Certains avaient été contre, sous prétexte de son âge, mais vu l’historique derrière et ses actions pour l’armée dans le passé, ils eurent vite plus aucun mot a dire.
[Finiiiiiiiiiiii ! Enfin XD] | |
| | | Léo Dukas Disparu/Ecolier
Nombre de messages : 72 race(natifs)/origines(disparus) : Canadien Date d'inscription : 01/04/2006
| Sujet: Re: Icare Idalson Lun 19 Juin - 20:23 | |
| Wow! J'ai vraiment adoré ta présentation... Je te souhaite la bienvenue! Ah! et te voilà général ennemi. | |
| | | Icare Idalson Général ennemi...
Nombre de messages : 35 race(natifs)/origines(disparus) : Francais Date d'inscription : 18/06/2006
| Sujet: Re: Icare Idalson Lun 19 Juin - 20:24 | |
| Marchi, j'étais très inspiré pour ce petit Ange ^.^
*s'en va chercher qui il va embeter* | |
| | | Saki Chef de Fukeru/disparue
Nombre de messages : 47 Age : 36 race(natifs)/origines(disparus) : Japonaise Date d'inscription : 28/12/2005
| Sujet: Re: Icare Idalson Mar 20 Juin - 16:50 | |
| Léo tu pourras vérouillé la prochaine fois merci Bienvneue^^ longue...très longue...et belle présentation^^ | |
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| Sujet: Re: Icare Idalson | |
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| | | | Icare Idalson | |
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