Ciel bleu et deuxième chance

Des arbres, des plantes, de l'herbe, des animaux, des oiseaux et un ciel...un ciel bleu. Drôle d'endroit pour une personne qui avait connut que la ville, ces voiture, sa pollution, un ciel gris et ses pigeons. Le calme, le souffle du vent sur son visage tous sa étaient inconnus pour Jack, tous étaient si tranquilles, pas d'homme affaires hurlant au téléphone, pas de fou du volant et de suicidaire. Des suicidaire...il en faisait partie maintenant mais peut-on considérer un vivant comme étant un suicidé ? Cette question en entraîné une suivante, était-il vivant ? Pour son cerveau il l'était, mais pour lui-même non, il n'avait plus de famille, plus de monde, plus aucune attache. Cependant il vivait, on lui accordé donc une deuxième chance de vivre et de trouver sa place. Sa mère aurait voulu qu'il vive, il vivrait donc.
Jack se leva, regarda une dernière fois le ciel, et, lui même ne sait pourquoi, il le salua en faisant une révérence comme dans l'ancien temps. Un sourire se formé sur les lèvres de Jack, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas sourie aussi sincèrement.

Assise contre un tronc, ses jambes étaient pliées sur le côté, comme la queue d'une sirène perchée sur un rocher. Une longe jupe de la couleur de l'herbe la protégeait de l'humidité du sol. Sa main était croisée sur sa poitrine, sur ce corset de couleur marron clair. Des vêtements de son époque à elle et qu'elle aimait porter, même si les modes changeaient ici au fur et à mesure de l'arrivée de gens.

Elle n'était pas assoupis la petite tavernière. Elle était simplement assise là, sur le sol et contre un tronc, rêvant les yeux ouverts, recousant lentement les plaies de son âme, ainsi, innexorable. Lentement. Elle était dans l'ombre et camouflée par ce qu'elle portait, sans vraiment y faire attention. Ses cheveux s'accorchaient à l'écorce, trainait au sol, mais cela lui importait peu. Elle les lavait tout le temps, les brossait deux fois par jour. Et cela faisait deux cents ans, sans pour autant qu'ils ne soient habîmés.

Un bruissement de feuilles, crissement de pierre, la tira de sa rêverie. Un bruit commun dans un bois. Mais on percevait rapidement les différences de nature des sons après avoir passé quelques heures à les écouter. Mais elle ne bougea pas, pas maintenant. Pas avant de voir de qui il s'agissait. Pas les elfes, eux, ne faisaient pas de bruit, même en courant. Les centaures aussi, eux, étaient discrets.
la conclusion la plus logique fut qu'il s'agissât d'un humain. Simplement d'un humain vêtue de noir dans la fraicheur de cette fin de printemps. Et de début de journée.

Elle le regarda s'incliner devant l'air et les arbres, s'incliner devant la nature. Et elle sourit comme lui, sans voir ses lèvres à lui s'étirer. Mais elle ne bougea pas. S'il voulait la voir, il le pouvait. Et s'il voulait lui parler, il le pourrait. Mais il devrait rester loin ou pas trop prêt car la suspicion de la tavernière s'était faite accrue et même si ses armes étaient ses dents et ses ongles, elle n'en restait pas moins dangereuse si on la cherchait.

Jack regarda une dernière fois le ciel, puis ce retournant son sourire avait déjà disparut. Jack avança un peu avant de s'arrêter de nouveau, non loin de lui se trouvait quelqu'un, assit contre un arbre. De part sa carrure et ses formes il s'agissait d'une femme. Etait-elle entrain de l'observer ? Lui pour qui peu de monde avait porté d'intérêt. D'habitude les gens ne faisaient que s'ignorer, ne prenant jamais le temps d'observer les autres, savoir de quoi est fait le monde qui nous entoure. L'humanité est trop occupé par sa petite personne pour se soucier des autres. Lui il ne s'intéressait pas aux autres pour la même raison, il ne c'était jamais sentit chez lui dans le monde qu'il connaissait. Telle était la vie avant.

Jack reporta son attention sur la femme est s'approcha, celle-ci était vêtu bizarrement, comment si elle venait d'une autre époque, d'un autre monde. L'esprit logique de Jack fut mit à rude épreuve, soit il s'agissait d'une personne nostalgique du passé, soit elle venait du passé. Cela était impossible, à moins qu'il soit au paradis, difficile à croire pour quelqu'un qui avait toujours méprisé les croyant. Il ne supporté pas l'idée qu'une entité supérieur puisse régir sa vie. Une personne avait la réponse et elle était devant lui. Jack s'arrêta à quelque mètre de la femme.

« Bonjour, suis-je mort ? »

Althéa ne bougeait toujours pas. Et ou enfin, il la remarqua. Il portait une chemise blanche et des chausses de drôle de facture. De quel pays venait-il? Enfin, la question était plus de quelle époque... Il avait le visage étrangement pâle. Mais Althéa ne le dévisagea pas d'avantage. Elle ramena ses jambes contre elle et les enserra de ses bras avant de se relever. Elle secoua sa tête pour détacher de sa chevelure quelques brindilles et des morceaux de feuilles mortes. Elle n'avait pas coupé ses cheveux depuis qu'elle était ici, soit deux cents ans. Et les copeaux de couleur chatain clair de sa chevelure cascadait jusqu'au sol, se répandait sur ses épaules, encadrant un visage délicat où deux grands yeux marrons étaient visibles, transperçant littéralement celui de l'homme.

Puis il lui parla. Sa voix portait un drôle d'accent, mais sa langue était la sienne. Oui, il s'agissait bien d'une autre époque, et pas d'un autre pays. Elle ne comprenait pas tout. Son anglais était celui du 18ième siècle. Mais elle essya de le simplifier pour qu'il puisse la comprendre:

"Je ne sais pas. Mais, si vous l'êtes, je le suis moi même. Ou je suis un ange. Mais cela m'étonnerait."

Elle essayait de faire de l'humour pour faire apparaitre un autre sourire sur ce visage jeune... Enfin, plus jeune qu'elle.

Jack regardait la femme sans réellement y préter attention. Il remarqua la chevelure impressionnantede celle-ci, mais ne s'en étonna pas le moins du monde, il avait connu des personnes avec des coupes de cheveux plus extravagantes. Non ce qui étonna le plus Jack était le monde où il se trouvait et le fait qu'il parlait à une américaine. Bien que l'accent de celle-ci soit étrange, il n'était en tout cas pas anglais.

Jack sentit sa main trembler, il la regarda et la stoppa avec son autre main. Cela ne se pouvait, il était déjà dans cette état, pourtant il en avait pris il n'y a pas longtemps. Il ne pouvait se montrer dans cette état devant une inconnue, il se concentra pour stopper le tremblement. Il fini par réussir et il reporta son attention sur la jeune femme.

« Je ne pense pas que vous puissiez être un ange, de part ma condition. Bien que je n'ai jamais cru en Dieu mes parents étaient croyant et j'ai appris que pour le suicidé la seul destination était l'enfer.
Donc si je suis mort vous êtes une démonette. Mais de part votre beauté je pense que c'est impossible. »

Jack afficha un sourire forcé comme le veut ce genre de moment. Bien qu'il avait peu vécu avec le reste de la société, il c'était familiarisé avec les expression à avoir. Malheureusement cela se voyait, on ressentait que pour lui il n'y avait aucun sens à ce sourire.

Althéa pencha la tête sur le côté. Une démonette? C'est drôle comme nom pour une succube. Mais bon, elle ne sourit pas, ayant un peu de mal à comprendre ce jeune homme.

"Dans ce cas, vous êtes vivant. Ne vous reste qu'à savoir où vous êtes."

Elle ne bougea pas. Ce n'était pas elle qui allait commencer la conversation, ne le connaissant pas. Une autre époque. Un type louche en soi, avec ses tremblements de bras et ses yeux un peu vitreux. Mais le voile était parti. Il était redevenu maitre de lui-même, apparement.
La tavernière posa ses mains sur ses hanches. S'il avait des questions, elle lui répondrait. Mais, s'il commençait à essayer de la gaver de mots phylosophique de son époque, elle l'enverrait voir Saki...

Vivant ? Voilà au moins un point qui devenait plus clair, mais il y avait tellement de choses qui restaient dans l'obscurité la plus total. Cependant l'élément le plus intriguant resté présent, la jeune femme qui se tenait devant lui. D'après son accent et les mots qu'elle employait elle venait d'une autre époque, comment cela ce pouvait-il ? Cette question était du même ordre que celle-là : comment un suicidé pouvait être vivant. De tout façon sa n'avait pas vraiment d'importance vu qu'il allait mourir dans moins d'une semaine, peut-être un peu plus. Pourquoi l'avoir laissé vivre si c'était pour qu'il meurt en souffrant ? Peut-être avait-il quelque chose à accomplir avant de partir définitivement, cela faisait bizarre pour quelqu'un qui n'avait jamais cru au destin. Mais après tout la vie est rempli de surprise, plus ou moins agréable.

« Et bien je ne sais pas du tout où je suis et je pense que sa à peu d'importance pour un futur mort. Au faite j'ai oublié de me présenter je m'appelle Jack, bien que dans une semaine sa aura peu d'importance de savoir mon nom. »

La tavernière afficha une moue sarcastique. Futur mort? Ce devait être une mauvaise compréhension de sa part. Ou une mauvaise formulation. Ici, on ne mourrait pas souvent et qu'une seule fois la plupart du temps... Et il s'appelait Jack. C'était un nom étrange. Ancien mais remit au gout du jour. En faite, ce qui était étrange, c'était la fin du nom. Mais bon, Althéa fit de même et se présenta.

"Je me nomme Althéa. Je suis la tenancière de la tavernière de cette ville."

La tavernière laissa pendre son bras droit et fit glisser la main gauche jusqu'à son coude. Non, elle ne pouvait pas s'être trompée en traduisant ce qu'il avait dit.

"De quelle époque venez-vous, Sieur Jack?"

Althéa, quel nom étrange mais pour les moins charmant, il avait l'air de venir d'un autre temps, d'un autre époque, ce qui était certainement le cas. Ce qui intrigua le plus Jack, fut le sieur que la tavernière mit devant. Avait-il l'air noble ou d'appartenir à un classe élevée de la société. Il avait pourtant été longtemps tout en bas de l'échelle et n'avait que peux monté. On fait difficilement confiance à un drogué, surtout quand il l'est autant que lui. Mais les différents centre n'avait réussit cas diminuer les quantités. Cependant cette femme l'ignorait et elle ne le jugeait que sur ce qu'elle voyait, ce qui fit sourire Jack, pour une fois il n'était pas considéré comme un déchet.

« Et bien jusqu'à maintenant j'étais en 2006. Pourquoi cette question ? Ne sommes nous pas à la même année ici ? Et puis ne dite pas Sieur avant mon nom, je n'ai en aucune façon droit à ce titre, d'ailleurs je n'en aurais jamais voulu si on me l'avait donné. Je fais partie des classes social moyenne bien que pendant un moment je fut très très bas dans ces classes. »

Pour quelle raison la tavernière s'interressait-elle à l'époque ? Si Jack ce retrouvais dans le passé, il mourrait avant d'être née. Cette pensé dessina un sourire sur ses lèvres. Décidément il souriait plus dans ce monde que dans l'autre.

Althéa avait de plus en plus de mal à le comprendre. Devait-elle lui demander de simplifier ces termes? Non, probablement pas. Il devait bien comprendre qu'elle ne parlait pas la même langue que lui. Ou plutôt, la même langue mais pas du même temps. C'était trop complexe à imaginer...

"Le mot Sieur vous va puisque vous êtes ici. Esclave, prêtre, putain. Dirigeant, guerrier. Tout le monde est exeptionnel."

Un petit sourire énigmatique étira le coin de ses lèvres. C'est vrai que n'importe qui venait ici. Et, puisqu'ils étaient rares, ils étaient exeptionnels.

"Et, si je vous ai posé cette question, c'est qu'elle possède une menue importance. Ici, il n'y a pas de temps."
Elle marqua une pause et reprit:
"De quoi trépasserez-vous d'ici une semaine?"

Lui être exceptionnel, quel douce farce, au cour de sa vie jack avait appris une chose personne n'est exceptionnel, on peut facilement ce passer de quelqu'un. Vu le nombre d'habitant sur terre, il y avait toujours moyen de remplacer quelqu'un, voilà pourquoi les meurtres ne choqués plus autant. Un mort et aussitôt d'autres venaient prendre sa place, ainsi va la vie. La vie quel douce ironie, c'est toujours au moment le moins propice qu'elle s'arrête. C'est ce qui c'était passé pour les parents de Jack et d'une certaines manière pour Jack, sauf que lui avait choisi sa mort. Mais l'avait-il réellement choisit ? Après tout sa mort avait été provoqué par celles de ses parents, sans la morts de ceux-ci il serait certainement en vie et pas là où il est à l'heure actuel.Un monde sans temps, c'est là qu'il se trouvait, comment un monde comme sa pouvait-il exister. Cela défié toutes les lois régissant le monde que l'homme connaît. Ainsi les plus grand physicien, mathématicien c'étaient trompé sur le calcul du temps, vu qu'un monde sans temps exister. L'homme découvre tout les jours des éléments qui contredise ce qu'il a trouvé avant. Le monde est remplie de contradiction, c'est certainement ça qui donne l'impression de vivre, d'être un entité à part entière. Le monde est comme les espèces en constante évolution, il mourra un jour et se sera sûrement la faute de l'homme. Mais Jack ne sera pas là pour le voir.

« Et bien, je vais mourir d'une façon peut joyeuse, d'abord j'aurais des tremblements et j'aurais du mal à tenir debout, puis j'aurais des convulsions, ensuite je mourrais soit en m'étant étouffé avec ma langue, soit par un arrêt cardiaque. Tout sa à cause des différentes drogues que je consomme depuis l'âge de 16 ans. Une dernière chose n'utilisé pas Sieur pour moi, je ne veux pas de ce titre, cela met en place des classes social, ce qui est incompatible avec ma façon de penser. »

Althéa hocha la tête. Cela n'avait pas trop d'importance d'appeler ce jeune homme sieur, lord ou tout autre chose. Mais, la façon dont il se considérait énervait un peu Althéa. Elle, elle savait très bien ce qu'elle voulait dire lorsqu'elle disait que tout le monde était exeptionnel. Cela faisait bien deux cents ans qu'elle était ici! Et même si ce temps ne se voyait pas sur son visage sous la forme de ride, ou dans son corps par les douleurs, cela se voyait dans ses yeux, bien trop profond pour appartenir à une femme d'une vingtaine d'année. Et sa vision des choses aussi en était changée, sa manière de penser et de percevoir les êtres et les actions. Mais la petite tavernière ne répliqua rien d'autre. Elle tortillait dans son esprit les paroles du jeune homme.
Des drogues. Il se droguait depuis l'âge de 16 ans donc. Et quel âge avait-il maintenant. 20? 25 ans? Ses traits étaient tiré mais on ne lui donnait pas plus de 25 ans. Et, sous ces cernes, peut être se cachait-il bien quelqu'un sorti de l'adolescence depuis à peine quelques courtes années.

Bon, environ 5 ans. 5 ans qu'il devait se droguer. C'était long, mais pas tant que ça. Althéa réfléchit. Il n'était pas le premier à venir ici en s'étant droguer. mais c'était peut être la première fois que quelqu'un lui disait avec autant d'ouverture. Il était trop résigné. Il voyait trop la mort venir. La sentir, Elle, Dame la Mort, ne signifiait pas forcément que Ses plans étaient innéluctables. On pouvait toujours contrecarrer le destin.

"Et alors! J'étais une prostituée il y a longtemps. Cela vous donne-il l'impression que je suis autre chose que ce que je semble paraitre? Vous étiez un drogué. Ici, vous n'avez plus trop le choix: vous devrez diminuer votre dose."

Elle haussa les épaules, peu convaincu que ce qu'elle ait dit l'atteigne. Mais reprit:

"Vous n'allez pas mourir Monsieur Jack. Je peux vous aider à vous sevrer. Mais vous devrez vous plier à quelques unes de mes volontés."

Althéa essayait de reprendre la partie. Elle n'aimait pas les résignés et les lâches. Etait-ce lâche d'accepter sa mort? Oui, surtout lorsqu'elle n'était pas inexorable.

Ne pas mourir ? Cette femme avait de douce illusion, comment pouvait-elle affirmer ça. Elle n'était pas médecin mais une ancienne prostitué. Elle n'avait aucune idée de ce dont elle parlait. Pourquoi ne pouvait-elle pas accepter la mort d'un étranger ? Jack acceptait sa propre mort, pourquoi les autres ne pouvaient pas en faire autant, était-ce si dure de ce dire, tien cette personne va mourir. Pour jack semblait facile pourtant, comme dire bonjour, comment ça va ? Mais non pour cette femme cela semblait impossible de le dire; elle préférait garder l'espoir futile de le sauver, Jack avait fréquenté diffèrent centre de désintoxication et aucun n'avait réussit à l'aider. En plus elle voulait qu'il ce plis à ses volontés, ça jamais il le ferait. Jack rejetait toutes formes d'autorité, il l'avait accepté pendant trop longtemps, ses parents l'avaient contrôlé avec ça, puis l'état et ses lois.

« Sachez que vous ne pouvez rien pour rien, je vais mourir c'est tout, vous devriez l'accepter comme je l'accepte. J'ai fais mon temps sur ce monde un point c'est ...... »

Jack n'eut pas l'occasion de terminer sa phrase, il fut pris de tremblement beaucoup plus violent que la dernière fois. Ses jambes ce dérobèrent sous lui et il tomba, sa tête frappa le sol, le faisant tomber dans l'inconscience. Du sang coulait au niveau de son visage, provenant de son arcade sourcilière gauche qui venait de s'ouvrir.

(un petit clin d'oeil à ta fête? ^^]

La jeune femme prit comme un soufflet la résignation de Jack. Elle retint sa respiration, attendant qu'il termine sa phrase, les mains sur les hanches. Mais elle n'eut pas le temps de poursuivre son travail de fourmis: il venait de tomber au sol assez lourdement, ses jambes agitées de spasmes se convulsaient sous lui (je ne sais pas si les termes sont exactes ><). La tavernière se précipita à ses côtés, s'agenouillant auprès de lui.

Avec douceur, elle passa son pouce sur la joue du nouvel arrivant, recoltant un peu de sang et de sueur. Puis, avec force mais sans brutalité, la jeune femme posa ses mains sur les épaules de Jack: il était pris de tremblements et son abattement ne les feraient pas passer. Elle appuya, essayant de l'immobiliser sans meurtir son dos sur les pierres du sol.

"Jack! Calmez-vous! Respirez lentement! Reprenez-vous!"

Elle paniquait un peu. Althéa n'était pas une sage. Elle n'avait qu'une connaissance limité des plantes et des onguants de base. Sa médicine et les soins qu'elle portait aux gens qu'elle croisait n'était pas d'une complexité étonnante! Et là, juste à côté d'elle, quelqu'un était en train de faire une crise à cause de drogue qu'elle ne connaissait pas, provoquant dans le corps du jeune homme des réactions qu'elle ne pourrait probablement pas deviner. Et la panique donnait à ce qu'elle disait un accent autre, encore plus ancien...